Dans Habemus Piratam, je cite le nom de quelques pirates qui sévissaient sur Apple 2 du temps de mon adolescence (1980-1990). Ils « déplombaient » les jeux et les faisaient circuler gratuitement (sans internet : les disquettes passaient de main en main…). L’un d’entre-eux était « Godfather » (que je cite p37) :
A la sortie du roman, je l’ai retrouvé sur Facebook (la communauté Apple 2 reste encore très active, 30 ans plus tard) pour lui offrir un exemplaire dédicacé du livre.
La semaine dernière, nous nous sommes rencontrés à Paris et avons évoqué (la larme à l’oeil) nos souvenirs d’antan. Comment il avait commencé son activité, les potins du milieu, comment ses jeux, déplombés sur Paris, pouvaient-ils atteindre Martigues où j’habitais)… Jean-Philippe m’a dédicacé mon livre, à sa manière … j’adore. (Après 30 ans, il y a prescription pour ses méfaits informatiques 😉 )
C’est aussi ça la magie de l’écriture. Ecrire pour soi, écrire sur soi, faire des rencontres. J’aime.