J’aime beaucoup les Embrouillaminis. C’est un sujet qui me taraude depuis des années : que deviennent toutes les histoires, ces variantes avortées qui ne terminent pas dans un roman ? C’est injuste car certaines sont méritoires. Pourquoi n’ont-elles pas la chance d’être lues ? Pourquoi le lecteur doit se limiter à la lecture de la seule histoire survivante ? Qui nous dit que l’auteur a fait le bon choix ? Et si une lectrice avait préféré une autre fin ?
José-Luis Borges parlait d’une bibliothèque infinie dans laquelle se trouveraient toutes les histoires du monde. Ici, je vous propose un roman labyrinthique où Lorenzo quitte sa chère vallée de Chantebrie pour découvrir le vaste monde. Ou pas.
Sortie Aux Forges de Vulcain le 21 mai 2021.


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Bonjour Pierre.
Je viens d’achever la lecture des Embrouillaminis et j’ai vraiment adoré. J’ai lu tous vos romans depuis le premier, et celui est sans doute un de mes préférés.
Permettez-moi cependant de vous adresser une petite réclamation. La campagne marketing de votre éditeur est basée sur le slogan « 1 roman, 1000 histoires ». Or je viens de relire votre roman en tous sens, et j’ai bon compter et recompter, je n’y dénombre en tout et pour tout que 25 histoires.
Sachant que j’ai payé le livre 20€, pensant y trouver 1000 histoires (soit 2 centimes par histoire), je m’estime floué de 19,50€, dont je demande le remboursement.
Cordialement,
Jaufré Cantolys
Cher Jaufré. Il y a très exactement 1096 chemins possibles pour arriver au mot FIN. Il vous reste donc 1071 façons différentes de lire ce roman. Je vous conseille de bourrer votre pipe, de vous installer à l’ombre de votre figuier et de relire ce roman avec un peu plus d’attention.
Il serait funeste, qu’hilare, certaines subtilités vous aient échappées 😉
Cordialement,
Pierre